

Dans l’arrière-boutique des ship managers
Dans l’arrière-boutique des anthropologues
« J’arrive à faire face à à peu près tout »
« Le respect de la diversité n’est pas une donnée française »
Une audience à la Cour nationale du droit d’asile
Grothendieck mon trésor (national)


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 la suite et la fin du reportage au Canal Saint Martin
 la suite et la fin du reportage au Canal Saint Martin
 la page du collectionneur fauché
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Syllogisme
jeu 15 fév 00h04 |lien|
Dans Le Monde du 13 février, Dominique Dhombres évoque Sumo, le chien des Chirac : « Sumo, un petit caniche blanc ». Erreur ! Sumo est un bichon maltais. Et le bichon est au caniche ce que les chiites sont aux sunnites : une énigme pour les médias. Poil long vs. poil frisé : ce n’est pourtant pas la même chose, nom d’un chien ! Tous les caniches sont de petits chiens, tous les petits chiens ne sont pas...

« Et puis il a des *** spéciaux. Il faut les trouver. Si jamais ils disparaissent sous un meuble, c’est une catastrophe. Cela passe avant tout de retrouver les ***. » « J’aimerais bien voir le président chercher les *** sous les meubles », dit Michel Drucker. « Il les cherche ! », renchérit Bernadette. (Vivement Dimanche, ibid.) Que cherche notre président sous les meubles ? Les documents secrets sur les emplois fictifs du RPR ? Ses lunettes-qui-font-parler-la-presse ? Non. Réponse : les jouets du petit chien Sumo.

« C’est incroyable que l’on puisse acheter un cru millésimé avec ce que gagne un salarié en un mois. » Dixit Arlette Laguiller (La matinale, Canal +, 14 février). Sachant que le salaire moyen se situe à 1.903 euros mensuel nets (INSEE 2005), Arlette nous donne l’eau à la bouche... Pourquoi pas un Château Pétrus 1er grand cru Pomerol de 1947 ?


« Il y a donc une vie après la politique ? », demande Michel Drucker (Vivement Dimanche, 11 février). « Il y a sans aucun doute une vie après la politique. Jusqu’à la mort », répond Jacques Chirac. François Mitterrand déclarait quant à lui dans ses derniers vœux aux Français, en 1994 : « Je crois aux forces de l’esprit et je ne vous quitterai pas. » Mitterrand se pensait éternel ; Chirac non. Le complexe d’infériorité de l’ex-premier ministre de Tonton n’est pas réglé !

